Week-End
Raquettes à Vars
2
et 3 février 2008
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Nous
ne sommes que cinq raquetteurs à aller exercer
nos talents dans les Hautes-Alpes. Nos
deux voitures empruntent des chemins différents
mais se retrouvent nez à nez à 19 h
précises devant le refuge Napoléon.
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Juste le temps de poser les sacs dans le dortoir mis
à notre disposition et nous passons à
table. Un bon repas.
Dehors la neige tombe inlassablement...
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Après
une nuit très chaude pour tous (mais non !
pas coquine ! juste un radiateur qui fait du zèle
!) et un bon petit déjeuner, nous voilà
partis dans la poudreuse, direction « la Tête
du Paneyron ».
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Au
bout de 2h de marche sans rencontrer personne, dans
un paysage magnifique malgré la brume qui nous
cache très souvent les sommets, nous redevenons
modestes ou plutôt réalistes : les 790
mètres de dénivelée prévus,
on n’a pas le courage de les faire. |
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On
s’enfonce dans la poudreuse et remonter toute
cette neige sur nos raquettes nous fatigue vraiment
beaucoup.
Donc on bifurque, on passe devant une jolie petite chapelle
et on se retrouve de l’autre côté
du col de Vars.Tout
le monde (sauf une) se régale de dévaler
des pentes enneigées souvent très raides. |
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On
remonte au col, on passe sur l’autre versant,
dans la forêt, on monte, on descend et on décide
d’aller faire un tour plus bas à la station
de Vars; il faut ensuite remonter jusqu’au refuge.
Une
journée bien remplie ! |
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Après
l’apéro traditionnel au dortoir, nous descendons
dîner. Déception pour Jean-Marc qui n’aime
pas le fromage : c’est une tartiflette.
Le
dimanche, c’est par un beau soleil que nous partons
marcher. Le guide n’a pas de chance : il faut
qu’il coure un certain temps après un énorme
Saint-Bernard qui lui a volé une chaussure et
ne veut pas la lui rendre. Après donc une bonne
course poursuite pour l’un et un bon fou rire
pour les autres, nous partons. |
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Ca
démarre dur : on monte, on monte…
Plus
haut, le vent souffle, il fait très froid, mais
le ciel est bleu et la vue sur les sommets superbe.
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Nous
redescendons par un petit canyon, peut-être sous
nos pieds un ruisseau ? en tout cas de la bonne neige
épaisse.
Un dernier pique-nique dans la neige et c’est
déjà l’heure de regagner les voitures
pour le retour. |
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