Le
Caroux
27
novembre 2011
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Miracle,
la randonnée va avoir lieu : en effet, ce dimanche,
il ne pleut pas.
A l’église de Colombières, nous
calons nos altimètres et attaquons le vieux sentier
du Garel. |
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Dans
les rangs, ça bavarde beaucoup ; avec toutes
ces randos annulées, on ne s’était
pas vu depuis longtemps.
Le sentier suit le torrent l’Albine. C'est une
succession de marches. Combien y en a-t-il ?
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Les
os un peu rouillés, ça traîne un
peu. Notre progression est ponctuée de nombreuses
pauses. Nous atteignons les baraques de Caylus, puis
après un dernier petit raidillon, la Vire de
la Roque Rouge. |
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Le
sentier qui la traverse paraît toujours aussi
impressionnant.
Le rocher est sec ; on y va. |
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A la sortie de la Vire, nous nous arrêtons pour
le casse-croute.
Il reste bien du dénivellé mais ici,
la vue sur la vallée est trop belle.
A
l’Ouest, le Canigou enneigé.
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Au
Col de Roucayrol nous obliquons Nord-Ouest par un
magnifique sentier.
L’animateur
(moi) est content, il ne l’avait jamais pris
!
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Nous
rejoignons le plateau du Caroux puis le GR7 à
l’endroit ou l’Albine prend sa source.
Pas de mouflons à l’horizon. Normal,
ça bavarde toujours.
Il était prévu de rejoindre le sommet
du Caroux par un petit aller-retour. Finalement, nous
le zappons.
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La
fatigue commence à se faire sentir dans la descente
sur le gîte de Lafarge. La pause devant le gîte
sera de courte durée ; l’ombre et le froid
envahissent les gorges de Colombières. |
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Nous
suivons le torrent d’Arles par le PR. Une dernière
pause aux Troglodytes et c’est « un peu
cassés » que nous retrouvons les voitures
à l’église du village.
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